« Je veux boire mon vin dans ta chatte, mon esclave. » Dis-je froidement à l’esclave aux longs cheveux roses.
Son nom est Elodie. Elle était une princesse, la future reine de son royaume, mais maintenant elle n'est rien d'autre que ma salope. La femme est terrifiée par mon commandement, mais elle n’a aucun choix. Après tout, j’ai conquis son royaume après qu’elle a vaincu Togami. Elle avait été beaucoup affaiblie après son duel contre lui. J’en ai profité. Maintenant, l’ex-princesse est enchainée dans une cellule de son ancien donjon, à ma merci.
Je déplace les chaines pour forcer le corps de la femme à être en l’envers. La tête de l’ex-princesse est en bas, ses pieds sont en haut. J’écarte aussitôt les jambes d’Elodie pour voir sa merveilleuse chatte. Elle me supplie de ne pas faire ça. L’esclave aux cheveux roses m’appelle même par mon nom, Saric, plutôt que « monstre », « salaud » et « anti-Lumen ». Cela me fait rire. Elodie comprend enfin sa place! Bien qu’elle soit une Lumen, elle ne peut pas se libérer des chaines, car elles annulent toute magie.
Je prends la bouteille de vin rouge et je commence à verser le vin dans son tunnel d’amour. Elodie hurle, me supplie d’arrêter. Je ne l’écoute pas et je remplis son trou du liquide délicieux. Je dépose la bouteille de vin et j’entre doucement mon doigt en son entrée.
« Il faut brasser le vin avant de le boire. » Dis-je avec un sourire narquois.
Je fais un mouvement circulaire avec mon doigt, cerclant les parois internes de l’ex-princesse. Elodie gémit et crie. Je ris et je retire mon doigt. Je penche légèrement ma tête et je me délecte du vin rouge en léchant, embrassant sa chatte. L’ex-princesse continue de gémir et de crier.
« Ah ~. Délicieux ~. Elodie ~. Tu es délicieuse. » Dis-je d’une voix douce entre plusieurs baisers et coups de langue.
Après avoir bu tout le vin rouge, ma langue peut aller bien profondément dans le tunnel d’Elodie, je déplace les chaines à nouveau. Le corps de la femme aux cheveux roses est à l’endroit. Elle me lance un regard rempli de haine et ses yeux sont limpides. Elle se retient de pleurer.
« Tu peux pleurer, belle Elodie. Cela me rendra encore plus heureux. »
Sur ces mots, je quitte sa cellule et je sors du donjon.